La malbouffe, on peut s’en sortir! 642.57 M241bld

  • Dans ce dernier épisode, Louis-Philippe et Geneviève concluent leur enquête sur la malbouffe qui a duré six semaines. Ils apprennent encore beaucoup de choses, entre autres que selon l’étude de Ludwig, Peterson & Gortmaker de 2001, le risque d’obésité augmente de 60% après chaque portion de boisson gazeuse consommée dans une journée, que Selon l’étude Food habits of Canadians de Jabobs-Starkey de 2001 sur les ados, 33% de leur apport quotidien en énergie provient des croustilles, frites, friandises et autres aliments gras ou sucrés, et enfin, ils constatent qu’alors que les écoles veulent proposer un menu plus santé dans les cafétérias, 3 écoles sur 4 de la région de Montréal sont situées à moins de 1 km d’un restaurant rapide. Ce type de restauration est encore plus présent dans les milieux défavorisés. Le pire cas montre que 67 restaurants rapides sont à proximité d’une seule école. Aussi, Geneviève visite une école secondaire qui a décidé de prendre en main son virage santé! Mais l’école n’avait aucune idée des obstacles à traverser pour recommencer à zéro. Louis, pour sa part, rencontre la responsable de la Polyvalente Mont-Bruno pour lui suggérer son bar à sandwiches.  » Ce que j’espère le plus, c’est que les jeunes aiment ça. S’ils l’adoptent, le bar pourrait revenir l’an prochain. Alors, j’aurai réussi à réduire une partie de la poutine « . Enfin, une équipe d’un collège privé a su comment trouver un concessionnaire qui a banni la malbouffe. Elle nous apprend quelles  » recettes  » il faut appliquer. La guerre contre les concessionnaires est-elle commencée?
  • Collection : Bouffe ou malbouffe ; 6
  • Blais, Pierre.
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